Un consentement préalable en théorie !

No spam ! Envahissants, peu utiles, mal ciblés… de quoi faire regretter les prospectus qui envahissaient les boîtes aux lettres ! Les courriels commerciaux sont trop utilisés à tort et à travers et sans frontières. Malgré l’anarchie ambiante, il existe bel et bien un cadre dicté et rappelé par la CNIL. Toute publicité non sollicitée adressée par courrier électronique doit être identifiée comme telle, d’une manière claire et non équivoque, dès sa réception par le destinataire. Par ailleurs, les annonceurs et les professionnels du marketing doivent mettre à la disposition des utilisateurs un mécanisme en ligne leur permettant de leur faire savoir qu’ils ne souhaitent pas recevoir à l’avenir de sollicitation en ligne. Le principe dominant doit être celui du «permission marketing», autrement dit un consentement préalable de l’internaute pour recevoir des courriels commerciaux. Dans les faits… ce n’est pas la même chose. Saviez-vous par exemple que les messages téléphoniques doivent permettre aux correspondants de comprendre dès le début de la conversation l’objet de la communication téléphonique !.